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Le groupe s’est rendu ensuite dans une ferme ostréicole



Des tables toutes dressées attendaient et, pendant la dégustation d’huitres, un film a été projeté concernant les méthodes de production



Il y a eu ensuite, de la part de l’ostréiculteur, beaucoup d’explications complémentaires



Les huitres produites ici sont des huitres creuses, que l’on disait autrefois portugaises mais qui sont maintenant japonaises, par suite d’une maladie qui s’est développée en 1971



Les huitres nouveau-né, le « naissin », se fixent sur des piquets ou des tuiles. Au bout d’un certain temps, on les détache pour les mettre dans des poches, placées ensuite sur des tables, en un endroit où elles sont couvertes par la mer à marée haute



Au fur et à mesure que les huitres grossissent, on les place dans des poches de plus en plus grandes. Il s’agit essentiellement de les protéger des prédateurs tels que les crabes



Lorsque l’on juge les huitres prêtes pour la commercialisation, on les place dans des bassins alimentés en eau de mer



Selon la durée du séjour et le nombre d’huitres au mètre carré, on les classe en « fines de clair » ou en « spéciales de clair »



Une algue, qui prolifère dans ces bassins donne aux huitres leur couleur verte et leur gout spécifique